À jamais en complicité avec la vie, elle se tenait, comme en exil de sa patrie, puissamment soutenue face à un gouffre profond. Elle n'arrivait guère à épuiser la roche, même si, par son incessant martèlement, réussissait à façonner, à sa manière les formes nouvelles du paysage amer. À jamais, elle ne cesserait, de tâcher de fatiguer, les parois rocheuses par la seul force de sa volonté, se permettant, uniquement, de tumultueux va-et-vient, rêvant de paysages meilleurs, et se tenant prête à un jour revoir le soleil lointain.
Dans son ennui, curieus
À jamais en complicité avec la vie, elle se tenait, comme en exil de sa patrie, puissamment soutenue face à un gouffre profond. Elle n'arrivait guère à épuiser la roche, même si, par son incessant martèlement, réussissait à façonner, à sa manière les formes nouvelles du paysage amer. À jamais, elle ne cesserait, de tâcher de fatiguer, les parois rocheuses par la seul force de sa volonté, se permettant, uniquement, de tumultueux va-et-vient, rêvant de paysages meilleurs, et se tenant prête à un jour revoir le soleil lointain.
Dans son ennui, curieus
Un voeux qui s'envole
Sur une étoile filante
Se perdant dans les caremboles
De la lune scintillante
Le voeux d'une jeune fille
À qui ne reste que l'espoir
La même jeune fille
Qui pleura quelques jours plus tard...
...Au lever du Soleil
Sa lumière éclairait deux coeurs
Au coucher du Soleil
La vie sépara deux âmes soeurs...
...Les chaînes de l'amour
Les gardaient pour toujours lié
Mais pour que deux êtres s'aiment au grand jour
Ils fûrent vivement séparés
Jamais elle n'oubliera
Ses cheveux d'ombre, ses yeux d'azur
Jamais il n'oubliera
Son sourire et son âme